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contacter l'auteur envoyer à un ami partager ma passion de l'écriture, mettre des mots sur des sentiments, et dire tant de choses et plus encore.. accueil du blog recommander ce blog créer un blog avec canalblog catégories chansons récits vidéos derniers commentaires très beau poème qui reflète une histoire, une sur histoire d'un soir excellent cri de révolte d'une pacifiste qui aime sur 07 janvier 2015 beau texte touchant avec beaucoup de sensibilité. sur ailleurs je viens de lire un texte significatif, qui sur ailleurs bonjour très beau texte sur la souffrance de la sur ailleurs une poésie émouvante et touchante. merci sur je sors ce soir une bouteille à la mer... un très beau texte, un sur une bouteille à la mer un plaisir, comme d'habitude lire des mots sur si je rêvais tout haut tes textes sont toujours magnifiques..tu mets sur si je rêvais tout haut jolie!! transparent et elegant. sur je sors ce soir tags amour croire enfance enfant envie instant je loin lumière mer minute montagne mots murs métro ombre pas peur recommencer respiration route rêve rêver sea silence soir temps toi train vie « mars 2018 dim lun mar mer jeu ven sam 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 albums photos le long des rails .. fin de journée. shooting photo, après-midi d'été .. newsletter associations association grégory lemarchal fondation carla bruni-sarkozy la chaîne de l'espoir le printemps des poètes lire et faire lire maud fontenoy fondation: à contre courant pour la planète déco d'intérieur bloomingville chez les voisins simone sisters divers comptoir des parisiennes le blog d'alexis jenni orahe test entre amis thomas pesquet's proxima blog vacances francaises epicerie fine confiturerie jean marc chatelain musique bastien seconde vie david hallyday mathvjmusic musique nouvelle zabel musique classique julia fischer quatuor leggio photographie paul-augustin photographies follow @violaine_m 30 avril 2017 original dream il faudrait s’envoler parfois ne pas s’écouter couper le lien le fil qui retient tout l’envie, l’avenir le risque et franchir les limites je cherche ailleurs a la limite le bout du temps l’horloge de vie l’origine du rêve le monde original le temps intime ultime l’empreinte de la vie il faudrait retrouver sur la carte, l’île au trésor et puis encore la joie qui pousse à tout l’envie, l’avenir le risque dépasser les limites je cherche ailleurs a la limite le bout du temps l’horloge de vie l’origine du rêve le monde original le temps intime ultime l’empreinte de la vie il faudrait exercer l’attraction, la gravité s’envoler loin de tout pousser les murs les rêves emmurés son nom gravé au-delà des limites je cherche ailleurs a la limite le bout du temps l’horloge de vie l’origine du rêve le monde original le temps intime ultime l’empreinte de la vie posté par violainem à 17:33 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : ailleurs , envie , joie , limite , loin , origine , risque , rêve , temps , vie 13 juillet 2016 pulsation ils sont là, debout. chacun sur un quai. au milieu, les rails les séparent. ils sont si proches. et pourtant. ils se sourient. leurs lèvres s’échangent des paroles qu’ils sont seuls à comprendre. a entendre. les regards qu’ils s’échangent les enveloppent, les gardent, les protègent des autres gens. ils sont seuls tous les deux. dans cette lumière-là. dans cette aura. il n’y en a qu’un qui compte pour moi. et c’est toi. je voudrais déraisonner. encore. rester là. toujours. sur un quai. non, je voudrais te rejoindre. m’élancer vers toi. a ta rencontre. encore. me jeter dans tes bras. oublier. tout. pourquoi je suis là. pourquoi la vie va parfois, à contretemps. je ne voudrais jamais devoir me séparer de toi. m’arracher à toi. je voudrais t’aimer là. etre à toi. indifférente à tout, ce qui ne peut être toi. je voudrais déraisonner. rester là. rester là contre toi. ils sont là, debout. démunis. désunis. l’amour ne suffit pas parfois, à faire ce que l’on croit. l’amour ne suffit pas. et le temps s’accélère. comme un grondement sourd. comme la couleur d’un ciel qui change en un instant. comme la nuit, avant la nuit. puisque tu n’es plus là. puisque tu es parti, loin dans ton autre vie. et je reste là seule, avec ma déraison et mon amour qui cogne autant que mes pensées. posté par violainem à 20:01 - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amour , debout , je , pensées , seule , temps , toi , vie 15 avril 2016 rêve animé la rue me dévisage pas seulement les visages mes pas qui me transportent ou la nuit qui s’enfuit le flot déjà les gens les pensées, les tourments mais dans cette atmosphère au loin il y a la mer le bleu de ton regard la cascade de ton rire l’horizon où tu danses nos déraisons intenses c’est comme un stratagème et déjà tu m’emmènes dans un autre univers des chemins de traverse et la vie se prolonge tout en moi est un songe et dans cette atmosphère au loin il y a la mer l’éclat de ton regard un diamant sur ton rire l’horizon où tu danses nos déraisons intenses tu m’as jeté un sort lequel encore j’ignore etat vertigineux je me perds, délicieux mais tu me sers si fort quand tu étreins mon corps et dans cette atmosphère au loin il y a la mer et quand je prends ta main je me fais un dessin quand je ferme les yeux je nous vois, tous les deux stay here stay…over gray don’t leave me, no but, my eyelids half open you escape already the end posté par violainem à 23:29 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : bleu , mer , regards , rire , éclat 20 avril 2015 histoire d'un soir c’est un film sans paroles des images qui défilent des actes à peine manqués un refrain qui revient presque un silence de trop l’envie de te parler l’ennui qui déraisonne et la tête qui me cogne quand la vie me fait peur quand elle dépasse un peu quand la vie tourbillonne qu’elle tourne autour de moi quand je ferme les yeux quand elle me tend les bras pour la saisir pour l’infléchir pour réfléchir son ombre sur moi c’est une histoire sans fin un serment, l’air de rien des promesses, en veux-tu des demains, en voilà et le jour qui renaît sans savoir où tu es sans savoir où tu vas où tu iras sans moi quand la vie me fait peur quand elle dépasse un peu quand la vie tourbillonne qu’elle tourne autour de moi quand je ferme les yeux quand elle me tend les bras pour la saisir pour l’infléchir pour réfléchir son ombre sur moi c’est un jour qui s’étire sur la nuit qui se tait une parole, un soupir une étreinte, un désir c’est tout ce qu’on s’est dit quelques mots chuchotés tout ce qu’on s’est menti et tout ce qu’on a cru quand la vie me fait peur quand elle dépasse un peu quand la vie tourbillonne qu’elle tourne autour de moi quand je ferme les yeux quand elle me tend les bras pour la saisir pour l’infléchir pour réfléchir son ombre sur moi posté par violainem à 20:11 - chansons - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : histoire , mots , peur , silence , soir , vie 13 janvier 2015 07 janvier 2015 il y des jours qu’on n’aurait jamais voulu nommer. des jours qui sont morts, avant d’être nés. des jours tristes à en pleurer. des jours qu’on n’aurait jamais rêvés. des jours en danger. il y a des jours. des jours insensés. où plus rien ne ressemble à rien. où l’on ne comprend pas. où l’on ne comprend plus. la vie bafouée. l’humanité brisée. des jours morts, avant d’avoir été. il y a des jours qu’on n’aurait jamais voulu nommer. il y a des cris de colère que l’on voudrait pousser. il y a des larmes que l’on voudrait verser. bien sûr, ce n’est rien. si peu de choses, bien peu de choses. etre humain. mais c’est ce qui nous reste, face à la haine, face à l’absurde. cette part d’humanité. cette vitalité. ce goût de vivre. plus fort. qui nous fait nous relever. ensemble. c’est tout ce qui nous reste. et c’est tout ce qui compte. c’est tout un peuple qui se lève. non, la haine ne passera pas. non, la haine ne nous détruira pas. non, la haine ne nous brimera pas. car nous sommes des femmes et des hommes libres. libres et debout. posté par violainem à 13:19 - récits - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : colère , humanité , jours 02 septembre 2014 ailleurs il est assis sur une valise et il ne parle pas. il y a tant de solitudes autour de lui mais qui ne se voient pas. lui, ses yeux sont baissés et il tend un gobelet. il ne sait pas depuis quand il est là, il préfère ne pas compter. les vies défilent autour de lui, mais il ne les voit pas. les gens passent à côté de lui, mais ils ne le voient pas. parfois quand il ferme les yeux, il entend mieux le bruit des pas, le bruit des pas sur le bitume. les klaxons et puis les téléphones, les gens pressés qui courent après quoi. qui courent après qui. il est assis sur sa valise et il ne parle pas. parfois il ose, il lève les yeux. jamais trop haut, il faut savoir rester à sa place. il reste assis sur sa valise et il ne parle pas. il n’est pas vieux alors parfois, il rêve que sa valise l’emmènera, ailleurs. loin, quelque part. dans un coin d’espoir. il lève les yeux. et sur son visage, le coin de ses lèvres, il y a comme une gêne, comme un mot d’excuse. pardon d’être là. pardon d’être là, à mendier comme ça. sans présentation. et sans grand discours. pardon d’être là. toute la journée, il voit défiler en lettres noires, en majuscules, cette publicité qu’il déchiffre sans mal : « l’indifférence. l’indifférence tue ». il n’en veut à personne. un jour, il se lèvera, encore. sa valise à la main qui l’emmènera. ailleurs. posté par violainem à 12:53 - récits - commentaires [3] - permalien [ # ] tags : indifférence , solitude , vie 13 juillet 2014 marcher pieds nus, dans l'herbe mouillée marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée poser ses pensées toutes entremêlées des idées reçues marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée avoir ses pensées toutes enchevêtrées des idées déçues 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil quand je me retourne et dans mon sommeil et sous mes orteils 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil et le monde autour et l’éclat du jour et toi dans mon ciel marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée marcher droit devant danser en marchant rattraper le temps marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée tenter d’échapper aux inconvénients et aux bien-pensants 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil quand je me retourne et dans mon sommeil et sous mes orteils 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil et le monde autour et l’éclat du jour et toi dans mon ciel marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée sur le fil tendu de la vie toute nue fragile ingénue marcher pieds nus, dans l’herbe mouillée avoir ses pensées ses pensées déliées toutes émoustillées 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil quand je me retourne et dans mon sommeil et sous mes orteils 1, 2, 3 soleil ! mais tout est pareil et le monde autour et l’éclat du jour et toi dans mon ciel posté par violainem à 15:49 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : marcher , nus , pensées 07 mai 2014 l'âge de raison un bâillement un cahier, posé sur ses genoux elle compte sur ses doigts récite avec les yeux remue des lèvres muettes elle semble satisfaite elle extirpe un livre de son grand sac à dos un peu maladroitement un livre de kessel, le lion, je crois j’aimerais avoir son âge pour partager ses rêves comprendre ses silences et partager ses rires j’aimerais tendre la main pour déployer ses ailes m’envoler avec elle ou bien la retenir un coup d’œil autour d’elle, les gens qui font semblant elle détourne la tête revient à son image elle touche du bout des doigts les traits de son visage elle ne sait, pourquoi les gens la dévisagent un bruit sec sur le sol le livre de kessel, le lion, c’est ça j’aimerais avoir son âge etre tendre avec elle lui dire que rien n’est simple lui dire que rien n’est grave j’aimerais être une trêve pour éteindre ses guerres lui rendre ses regards me rendre à ses sourires quelqu’un passe elle relève machinalement la tête elle soupire, fredonne cette chanson à la mode comment fais-tu cela ? tout vivre en un instant oublier le temps oublié sur ce banc quelques pages de ta vie le livre de kessel, le lion, c’est ça posté par violainem à 19:58 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : ailes , instant , main , regards , rêves , silences , âge 19 février 2014 si je rêvais tout haut si parfois mes yeux se ferment si parfois je soupire si tu me vois pensive que mon sourire se fige si tu surprends mon regard si tu cherches à savoir mon âme et son histoire mon âme et ses déboires viens, cherche moi sans faire de bruit viens, fends l’armure fissure le mur et sois plus fort plus fort que mes silences viens et trouve moi il y a les rêves qu’on ose les questions qu’on se pose les chemins de traverse ces regards qui transpercent il y a la main qui se tend et l’amour qui surprend le regard qui relève et l’envie qui reprend viens, jusqu’à moi sans faire de bruit viens, fends l’armure fissure le mur et crie plus fort plus fort que mes silences viens reste-là il y a l’histoire qu’on a et l’histoire qu’on écrit les grands rêves de l’enfant les regrets pour la route il suffit parfois d’un rien pour tracer son chemin réussir là où d’autres n’auront fait qu’essayer viens cherche moi sans faire de bruit viens, fends l’armure fissure le mur et sois plus fort plus fort que mes silences viens jusque-là posté par violainem à 12:18 - chansons - commentaires [2] - permalien [ # ] tags : bruit , chemin , rêves , silences 31 décembre 2013 je sors ce soir on a beau dire on a beau faire il y a des images qui restent des regards, des retards des envies d’encore, des remords et je sors ce soir je sors trop tard parce que tu fais silence parce que le temps avance alors je sors ce soir et je prends le temps de ne plus te vouloir la rue s’allonge en ligne droite je croise un homme, il me sourit et tu sais j’ai envie a cause de toi, d’aller vers lui et je sors ce soir je sors trop tard parce que tu fais silence parce que le temps avance alors je sors ce soir et je m’offre une chance de réécrire l’histoire on va chercher si loin parfois le paradis, l’amour perdu on va chercher si loin ce qu’on espère, l’inattendu et je sors ce soir je sors trop tard pour briser le silence pour prendre de l'avance alors je sors ce soir et je risque une chance de réécrire l’histoire posté par violainem à 14:34 - chansons - commentaires [2] - permalien [ # ] tags : amour , silence , soir 21 octobre 2013 entre nos vies après toutes ces années le chemin parcouru après avoir voulu tous nos rêves d’enfant après avoir couru poursuivis par du vent après avoir vécu le meilleur et le pire on se perd on se retrouve encore moins faible qu’avant pas plus fort pour autant si la vie nous défie nous malmène et nous lie parfois elle nous échappe et parfois on la fuit après avoir aimé rêvé tout éveillé après avoir voulu tout ce que l’on croyait l’idée qu’on se faisait des illusions déçues après avoir joué après avoir perdu on se laisse on se retrouve encore moins faible qu’avant pas plus fort pour autant si la vie nous défie nous malmène et nous lie parfois elle nous échappe et parfois on la fuit après avoir voulu faire s’arrêter le temps le revivre autrement pour nous laisser le temps le temps d’être vivant de se laisser aimer pour mieux se redonner la main pour un instant on se perd on se découvre encore moins faible qu’avant pas plus fort pour autant si la vie nous défie nous malmène et nous lie parfois elle nous échappe et parfois on la vit wake me up again in the depth of my soul make me feel alive because of you once again posté par violainem à 13:34 - chansons - commentaires [2] - permalien [ # ] tags : aimer , alive , enfant , vie 27 août 2013 déclaration des enfants crient dans la rue je ne les entends pas quelque part à l’intérieur je suis bien. avec toi et même si tu n’es pas encore là. avec moi mais quand tu seras là car tu seras là quand tu me reconnaîtras quand tu m’enlaceras quand nous en serons là mon amour, toi et moi alors je te ferai pour un jour, pour toujours ma déclaration d’amour, mon amour s’en aller sans savoir où marcher et puis c’est tout et sourire au vent, aux gens et se moquer du temps et même si tu n’es pas encore là. avec moi mais quand tu seras là car tu seras là quand tu me reconnaîtras quand tu m’enlaceras quand nous en serons là mon amour, toi et moi alors je te ferai pour un jour, pour toujours ma déclaration d’amour, mon amour demain je m’en irai jusqu’où mes pas me portent quelque part à l’intérieur je sais que tu m’attends et même si tu n’es pas encore là. avec moi mais quand tu seras là car tu seras là quand tu me reconnaîtras quand tu m’enlaceras quand nous en serons là mon amour, toi et moi alors je te ferai pour un jour, pour toujours ma déclaration d’amour, mon amour attends-moi, là. a l’intersection. quelque part. de l’autre côté de la terre, ou au bout du chemin. là, où tout commence. là, où tout se joue. et où rien ne finit. jamais posté par violainem à 21:21 - chansons - commentaires [2] - permalien [ # ] tags : amour , déclaration , toi , toujours 12 juillet 2013 au clair de nous deux tu me dis que la terre est ronde je te dis qu’elle est blonde je me noie dans un verre d’alcool et je vois la joconde tu prends la lune pour le soleil et tu te brûles les ailes je prends les étoiles pour le ciel et je ne vois plus qu’elles au clair de nous deux mon ami, ma muse notre amour est mort il n’y a plus de feu au clair de nous deux mon ami, ma muse eclaire moi encore mon amour un peu tu ne rêves plus comme autrefois tu me l’as dit cent fois ne nous prenons pas au sérieux et rions, de nos jeux je trace des cercles du bout des doigts des petits bouts, de toi tu danses au milieu de tout ça et tu te fous, de moi au clair de nous deux mon ami, ma muse notre amour est mort il n’y a plus de feu au clair de nous deux mon ami, ma muse eclaire moi encore mon amour un peu tu vas tu viens, âme vagabonde par ici, ou par-là tu ris d’un rien, tu es immonde tu me laisses me morfondre et si je crois encore en nous a ce jeu qui rend fou je suis ton point d’exclamation tu es mon point, final au clair de nous deux mon ami, ma muse notre amour est mort il n’y a plus de feu au clair de nous deux mon ami, ma muse eclaire moi encore mon amour un peu posté par violainem à 13:23 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : ami , amour , rêve 01 juin 2013 entre l'ombre et la lumière posté par violainem à 16:32 - vidéos - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : lumière , ombre 20 mai 2013 small farewell song je ne regarderai plus les heures qui passent le temps qui fait semblant le temps qui s’éternise je ne chercherai plus ton visage dans le noir ni tes mains sur ma peau ni ton souffle dans mon dos listen to my heart and sing with him do you know the words of his dumb story? can you hear the noise of its deep beatings? the way of love .. je ne resterai plus aux portes de mes rêves par dépit, par ennui et tant pis si j’en crève je ne resterai plus à genoux pour te plaire et tant pis si je perds et tant pis si je perds listen to my heart and sing with him do you know the words of his dumb story? can you hear the noise of its deep beatings? the way of love .. je ne subirai plus tes absences, et ta loi ta morsure, ton envie tes tourments infinis je ne divaguerai plus au son de ta voix caressant mon visage forçant tous mes outrages small song for you small farewell song a sweet tribute for a dumb story a love story a soft requiem just a small song small farewell song posté par violainem à 15:09 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : song , temps 09 avril 2013 quand bien même quelques mots, puis rien des pensées, des vérités des mots, de rien le silence, et quand bien même eteint, tout ce que je sais je sais, qu’il me faudra te dire te dire, et partir pour rien partir, même sans rien te dire de tous ces maux, ces mots pour rien quand bien même, tes mots, tes mains quand bien même, demain pour rien quand bien même, hier encore quand bien même, un jour de rien quelques mots, en vain des questions et puis des doutes des mots, pour rien ton image me dévisage cherche à forcer le barrage je sais, qu’il me faudra te dire te dire, ce que tu ignores taire les maux, dire le silence même si ce sont des mots pour rien quand bien même, tes mots, tes mains quand bien même, demain pour rien quand bien même, hier encore quand bien même, un jour de rien le poids de nos peines tout, ce qu’on aurait voulu de nous, un peu des regrets, et quand bien même j’efface tout ce que je sais je sais, qu’il me faudra te dire je sais, que je ne saurai pas taire le silence, dire les maux puisque ce sont des mots pour rien quand bien même, tes mots, tes mains quand bien même, demain pour rien quand bien même, hier encore quand bien même, un jour de rien posté par violainem à 13:01 - chansons - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : jour , mots , partir , regrets , silence 15 mars 2013 entre l'ombre et la lumière entre l’ombre et la lumière je navigue à vue entre qui je suis vraiment et ce qu’on dit de moi je cherche l’erreur quand je me tais, ou quand je parle trop jamais assez ou jamais comme il faut je suis : fragile, entre l’ombre et la lumière je fuis : mon ombre, quand elle s’accroche à moi je suis : tranquille, dans ce jeu de lumière je reste : moi, sans torts ni excuses entre l’ombre et la lumière, je cherche l’issue je nage dans les eaux troubles de mes doutes et de mes peurs je fuis, je m’éloigne pour revenir, à mon choix initial pour trouver où mes racines me retiennent je suis : fragile, entre l’ombre et la lumière je fuis : mon ombre, quand elle s’accroche à moi je suis : tranquille, dans ce jeu de lumière je reste : moi, sans excuses et sans torts entre l’ombre et la lumière, j’avance sur mes pas si je trébuche, si je tombe, je ne suis riche que de moi et j’ose, le pari naître et n’être plus, que l’ombre de moi naître et devenir, bien plus que tout ça je suis : fragile, entre l’ombre et la lumière je fuis : mon ombre, quand elle s’accroche à moi je suis : tranquille, dans ce jeu de lumière je reste : moi, sans excuses et sans torts posté par violainem à 13:32 - chansons - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : je , lumière , ombre 14 février 2013 reste avec moi comme une envie de tout oublier hier ou demain, de vivre au présent comme une envie de lâcher du lest de casser les murs et d’aller plus haut comme une envie d’être bien plus légère que le poids des mots, celui des regrets comme une envie de te parler d’amour et même si tu cries, que ton cœur est sourd ne m’en veux pas si j’oublie parfois reste avec moi quand un rien me fait peur ne m’en veux pas si je ne parle pas de toutes ces douleurs, ces choses qui me pèsent ne m’en veux pas si je ne suis pas ne m’en veux pas d’être seulement moi ne m’en veux pas pour les jours d’orage ne m’en veux pas pour les nuits trop sages comme une envie de croire au bonheur comme une envie de faire peur à nos peurs comme un espace qui ne serait plus si grand comme une envie de courir en avant comme une envie de se comprendre encore dans un silence et dans tous tes accords comme si toi aussi, tu voulais encore couvrir nos tumultes dans un corps à corps ne m’en veux pas si j’oublie parfois reste avec moi quand un rien me fait peur ne m’en veux pas si je ne te parle pas de toutes ces douleurs, de tout ce qui me pèse ne m’en veux pas si je ne suis pas ne m’en veux pas d’être seulement moi ne m’en veux pas pour les jours d’orage ne m’en veux pas pour les nuits trop sages comme si plus rien ne comptait vraiment comme si les pourquoi n’avaient plus de comment comme si dans un souffle nos mots se frôlaient comme si dans nos cœurs, nos corps se touchaient comme si dans mon âme tes mains dessinaient une nuit qui s’achève, un jour qui se lève et comme si plus rien n’était comme avant et comme si toujours c’était maintenant ne m’en veux pas si j’oublie parfois reste avec moi quand un rien me fait peur ne m’en veux pas si je ne te parle pas de toutes ces douleurs, de tout ce qui me pèse ne m’en veux pas si je ne suis pas ne m’en veux pas d’être seulement moi ne m’en veux pas pour les jours d’orage ne m’en veux pas pour les nuits trop sages regarde-moi dans les yeux, voyage au creux de mon âme, evade-toi loin de tes peurs, rejoins-moi juste pour voir, juste pour voir si nous deux… et reste là, avec moi reste avec moi posté par violainem à 13:04 - chansons - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : croire , envie , murs , orage , peur , souffle 12 février 2013 interview, posté par violainem à 20:17 - vidéos - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : interview , passion , textes 18 janvier 2013 et si ... et la route se divise se séparent nos chemins dans mon âme, des lambeaux du rêve que nous avions bâti et je me demande comment comment je tiens debout comment je tiens sans toi oui toi, qui m’oublie sans rien dire et moi, qui me souviens de tout et si je m’éloigne de toi si je quitte cette rive d’autrefois si je m’en vais loin de tes bras je ne peux si facilement t’effacer de moi si je m’éloigne pas à pas si je quitte cette rive d’autrefois aller si loin que tu n’y sois pas et reprendre ma liberté, celle de ne plus t’aimer et si .. a trop te désirer je me suis égarée pour exister selon ta loi jusqu’à perdre mon âme jusqu’à oublier mon nom a trop vouloir t’aimer j’ai vécu sur le fil comme un funambule si fragile comme un pantin manipulé et si je m’éloigne de toi si je quitte cette rive d’autrefois si je m’en vais loin de tes bras je ne peux si facilement t’effacer de moi si je m’éloigne pas à pas si je quitte cette rive d’autrefois partir si loin que tu n’y sois pas et reprendre ma liberté, celle de ne plus t’aimer et si.. le temps apaise les maux s’apaisent nos déroutes parce qu’il y a ce contrat intime je marcherai devant si ton souvenir me suit s’il me précède encore alors j’irai plus loin je marcherai dans le lointain jusqu’à ce qu’il ne soit plus rien mais si je m’éloigne de toi si je quitte cette rive d’autrefois si je m’enfuis loin de tes bras je ne peux si facilement t’effacer de moi si je m’éloigne pas à pas si je quitte cette rive d’autrefois partir si loin que tu n’y sois plus et reprendre ma liberté, celle de ne plus t’aimer et si.. il y a cette force infime, ce trois fois rien cette douleur vive au fond de moi il y a ce manque, et ce besoin cette force infime au fond de moi il y a ce cri que je pousserai et ce souffle tant que je vivrai il y a encore, à cause, il y a malgré... encore. a cause. et malgré posté par violainem à 13:24 - chansons - commentaires [1] - permalien [ # ] tags : cri , loin , route , rêve , temps 1 2 3 > >> blog hébergé par canalblog | plan du site | blog littérature et poésie créé le 15/07/2011 | contacter l'auteur | signaler un abus